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A**R
Great book. Fast delivery
Love the author
A**R
Five Stars
Every teacher need to read it!
A**R
La storia delle storie
Questo breve saggio del professor Pennaq è un piccolo gioiello di precisione e conoscenza. Come dice il titolo la stesura segue la stessa logica di un romanzo, e coinvolge molto. È in parte infatti una storia autobiografica di come è nata la sua passione per la lettura (e quindi poi anche per la scrittura) attraverso la lettura intensa e quasi sofferta dei grandi capolavori della letteratura mondiale, in special modo "Guerra e pace" e "Madame Bovary". Il libro consta di quattro grandi capitoli, di cui l'ultimo è senz'altro il più interessante, esaminanado uno a uno gli articoli di un "decalogo" del lettore, il titolo suona: "Le qu'en-lira-t-on (ou les droits imprescriptibles du lecteur)" ("Cosa si leggerà (o i diritti imprescrivibili del lettore), in cui è ben apprezzabile anche una certa sagacia. Il libro veicola la convinzione che è necessario leggere e insegnare a leggere, che è impossibile costringere (e questo è un importante messaggio pedagogico) un ragazzo a leggere, bisogna bensì far sorgere in lui la passione e la curiosità spontaneamente, permettendogli di leggere a più non posso e non vietandogli in giovane età i grandi capolavori. La lettura è consigliabile soprattutto per i pedagoghi e per coloro che sono impegnati nell'insegnamento ai ragazzi.
R**B
Brilliant. Absolutely brilliant.
While I'm francophone, and love to read, my usual books are in English. When I started highschool in French, my mother handed me this book, and it convinced me that French books weren't all that bad (despite the fact that I'd previously refused to read them.)Honestly, the prose is brilliant. The use of words is beautiful, and the points he make are well worth considering. This is a book about reading, and about why one should or should not read. Most teachers should read this; it would probably help them understand the children in their class, and help them love reading.
哲**ー
単純過去が余り使われていないのでオススメ
フランス語の中級者にオススメできる読み物。単純過去が余り使われていないエッセー形式の読み物なのでわかり易かった。内容は一言で言うと読書に関する考察。面白く読めた。
A**A
Un classique
J'ai acheté ce classique d'occasion chez Lilolivres pour un prix dérisoire (2.50€) car je souhaitais le relire et l'avoir dans ma bibliothèque. Du point de vue littéraire, c'est un livre à lire, bien évidemment. Aisé, intelligent, il ouvre des portes sur la lecture et sur le vécu de ceux qui ne lisent pas et qui peut-être ont de bonnes raisons de ne pas lire (ce qui ne les excuse pas). Pour ce qui est du service du vendeur, un livre d'occasion noté "très bon état" et qui est absolument neuf, même pas une plissure de page! Un envoi rapide et soigné, rien à redire. Un seul bémol, les frais d'envoi (5.99€) qui sont plus élevés que le prix du livre lui-même. Bien évidemment, cela me donne un total encore inférieur au prix du livre neuf alors qu'il est de même qualité qu'un neuf. Habitant en Belgique, je me vois fréquemment pénalisé par des frais d'envoi plus important, alors que nous sommes à très peu de distance et dans une Europe sans frontières... Peut-être serait-il intéressant de revoir ce point. Sinon, un livre à ne pas oublier de lire, c'est évident et un vendeur plus que recommandable!
J**R
Excellent, pour les parents en particulier et pour tout le monde en général
Ce livre a une forme très française d'essai littéraire, que la plume dePennac avec un rythme emporté et un style agréable rend extrêmementfluide et facile à lire, malgré un langage assez soutenu. Les idées soutenuesici me rappellent fortement un autre livre (que j'aime beaucoup aussi) The Read Aloud Handbook : la forme de l'essaie de Pennac diffèretotalement de l'étude de Jim Trelease (bien américain, avec son approchetrès pratique de type "méthode", ses côtés self-help et ses nombreusesréférences -chiffrées- à des études en sciences socialeset psychologie -notamment cognitive- tout à fait intéressante).Là, nous sommes plutôt dans le témoignage, dans la vie d'un écrivain profde français et père de famille, mais il en arrive aux mêmes conclusions etpour les mêmes raisons. Ce texte se repose moins sur la grosse machinede la science et de la démonstration, c'est plus un raisonnement basé surl'intuition et l'expérience d'un père et prof, mais il argument quasimentla même chose dans un beau langage et une forme agréable à lire.Il nous dit que ce n'est pas la télévision qui empêche les enfants de lire.Si ils peinent à lire et si ils n'y voient qu'ennui, c'est parce que nous(les parents et l'école) avons réussi à en faire une corvée. Il préconiseles mêmes choses que Trelease: lire à haute voix des histoires et decontes, à volonté, même lorsque l'enfant sait bien lire lui même, répéterces histoire autant qu'ils sont demandés, autant que nécessaire, changerd'histoire chaque fois qu'on en a envie (chaque fois que l'enfant ledemande ou chaque fois que l'adulte a envie de lui faire découvrirquelque chose de nouveau). Il recommande d'en faire un plaisir, de liredes HISTOIRES, gratuitement, pour le plaisir; de ne surtout pas en fairedes tests ou des travaux scolaires. En substance il recommande lire sansen faire une "médecine", mais d'en faire plutôt un "chocolat". Même lesclassiques sont avant tout des "histoires" qu'il convient de désacraliseret de raconter, même les plus intimidants d'entre eux, finalement,perdent leur côté intimidant lorsqu'on les écoute.De plus, pousser à apprendre à lire, puis pousser à lire ne sert à rien.Imposer des lectures est encore plus inutile. On obtient plus vite etplus aisément ce qu'on n'est pas pressé d'obtenir. Et l'enfant saurabien vite lire si il en a le désir. Il deviendra très vite un lecteur fluideet comprenant le sens de ce qu'il lit si il lit souvent et qu'il y abeaucoup de textes qu'il a envie de lire souvent.Il met aussi en évidence le problème du manque d'honnêteté qu'il y a àse demander pourquoi l'enfant s'ennuie à lire tout seul dans sa chambredes lectures forcées par l'école, alors que nous discutons devant la téléde pourquoi les jeunes ne lisent plus. D'une part la plupart des parentss'en foutent de l'amour de la lecture pour l'amour de l'art et la culturegratuite chez leur enfant; ce qu'ils veulent, c'est que leur enfant réussisseà l'école, d'où la lecture-corvée, lecture-obligation, lecture-exercice, quidevient vite une détestation de la lecture. Autre malhonnêteté: si onprétend lire et aimer lire, c'est qu'on donne l'exemple, c'est qu'on liteffectivement tout seul quand on ne lit pas avec l'enfant. Si on prétendaimer lire devant la télé (ou si on prétend qu'on aimait lire dans letemps mais qu'on a arrêté depuis), on perd pas mal de crédibilité. Sion prétend faire lire des lectures imposées, on en fait seulement unecorvée.*"""Le verbe lire ne supporte pas l'impératif. Aversion qu'il partage avecquelques autres : le verbe « aimer »' le verbe « rêver »'On peut toujours essayer, bien sûr. Allez-y : « Aime-moi ! » « Rêve ! » «Lis ! » « Lis ! Mais lis donc, bon sang, je t'ordonne de lire ! » -Montedans ta chambre et lis ! Résultat?Néant.Il s'est endormi sur son livre."""- Daniel PennacBref, il y a plein d'autres chapitres et notions intéressantes, mais sur lefond du livre, sur le centre de l'argumentaire, c'est avec une autre voixet ne autre façon de s'exprimer un exposé d'idées très proches de celles deJim Trelease.Jim Trelease a écrit son livre en 1982, Pennac en 1993. Mais Trelease citePennac a plusieurs reprises dans sa 6ème édition (2007), celle que j'ai lue...Qui de la poule ou de l'oeuf a exprimé tout çs sous cette forme? Bref, entous cas le livre de Pennac est interessant à lire et plus abordablepour les francophones que le livre de Trelease, puisque ce dernier n'a pasété traduit dans la langue de Victor Hugo. C'est plus vivant que Trelease,moins long et moins détaillé. Mais c'est une lecture à faire, particulièrementpour les parents de jeunes enfants. Mais également pour soi, pour tout lemonde et pour chacun, pour réfléchir à deux ou trois choses qui ne sontpas souvent dites sur le plaisir de lire.J'y ai même retrouvé l'envie de me remettre aux Russes (Tolstoï, Gogol, ...)et d'autres, voire il me convaincra peut être de relire Madame Bovary quim'avait été plutôt antipathique en première approche, il y a bien longtemps,dans une première vie de pré-adolescent lecteur assidu.*"""Les droits imprescriptibles du lecteur:- Le droit de ne pas lire.- Le droit de sauter des pages.- Le droit de ne pas finir un livre.- Le droit de relire.- Le droit de lire n'importe quoi.- Le droit au bovarysme (maladie textuellement transmissible)- Le droit de lire n'importe où.- Le droit de grappiller.- Le droit de lire à haute voix.- Le droit de nous taire."""- Daniel Pennac The Read Aloud Handbook
J**N
Un brin naïf.
Ce bref essai sur un vaste sujet est sympathique et bien écrit. Néanmoins l’ auteur m’ a paru un brin naïf et démagogue . Certains passages m’ ont rappelé ce vieux film ridicule » Le Cercle des Poètes Disparus « . Deux ou trois recettes et beaucoup de cœur à l’ ouvrage ne suffiront jamais à rendre la lecture universelle. Je pense que les gens ne lisent ni plus ni moins qu’ avant.
S**H
Pédagogie, vous connaissez?
Que du plaisir à lire "vite", mais malgré ce que dit l'auteur, "vous pouvez sauter des chapitres", j'ai voulu tout partager avec lui. Je suis un râleur quand il s'agit de la pédagogie ou plûtot du manque de pédagogie dans nos écoles. Daniel Pennac m'a réconforté dans mes positions.
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4 days ago
3 days ago