Verdi - Don Carlo / Pavarotti, Dessi, Ramey, d'Intino, Coni, Muti, La Scala Opera

This is the best conducted Don Carlo but leaves out the Prologue...a sin really. Muti especially excells in the last act duet...some of the most beautiful music ever written. Pavarotti is well-costumed and even looks handsome. Dessi is a wonder; D'intino perfect. There are only a few mezzos ever who can really sing this daunting role. If anything, Ramey looks too young to be Pavarotti's father but he is magnificent throughout. I saw Roberto Alagna in the role at the Met and he is heir to Pavarotti and what an actor...my favorite tenor.it is a shame that Muti will no longer perform at the met. he has a house in puglia where i do also, spending 3 to 4 months a year here. i wonder if he reads reviews....please maestro come back to the met!

Muti and Ramey were great too!!

I still prefer The Met production with Domingo, however, I bought this for Sam Ramey's performance as King and certainly wasn't disappointed! He was great! Dessi was a pleasant surprise as Elizabetta! Enjoyed her performance very much! Pav is much better than usual, thinner and more animated. It was well known that his voice cracked on a high note during one of the performances of this run without anyone mentioning the thousands he has hit and, of course, the audience booed. If it was during this one, they fixed with dubbing. Why any major stars put up with the audience behavior at La Scala and Muti's tantrums is still a mystery. The only weak voice was Cano's as Rodrigo - too much vibrato for my taste but his acting was acceptable. Sets were grand if somewhat lifeless. The costumes were beautiful but somewhat colorless which gave the whole effect a dark and somber look. The minor characters were well sung and the orchestra sometimes too loud but colored nicely and chorus sounded just fine. Enjoyed it as a different version when I'm tire of watching The Met and the French verson from the Chatelet in Paris. Both of which I rank above this one. A definite good buy if Pav and Dessi fan and a "must have" if you love Ramey! I look forward to sharing it with friends who haven't seen it and consider it a worth addition to the collection.

Excellent show and performance.

Best Don Carlo ever

great recording.

Brilliant.

A Pavarotti Don Carlo....I always admired Pavarotti, and I never understood the hate that so many critics had for him. He not only sang very well, but he always had a lovely legato, and his diction was so perfect that one never needed a libretto to follow him. This Don Carlo is in Italian, La Scala edition, which is t he first Italian edition of Don Carlos. As such, it does not have act 1 at all, which is a little bit of a nonsense, as one really does not realize (or does too late) why Don Carlo is in love with Elisabetta. Well, it's La Scala's first edition and it was made like that, the 2nd Italian version (from Modena) had a shortened act 1 (from the original French). I like the French version, but this is a good one. Pavarotti is Pavarotti, Dessi is OK, and Samuel Ramey is an excellent Philip. No five stars because it is La Scala's edition, but 4, oh, yes.

Ottimo DVD e ottimo venditore consigliato

Don Carlos para mi es la opera mas importante de Verdi

THIS WAS FOR A GIFT AND IT ARRIVED IN PLENTY OF TIME> MADE SOME ONE VERY PLEASED

Pour Zeffirelli, ce passionné d’opéra, rien n’était trop beau. Ses productions, certes très classiques, franchiront les décennies, d’autant plus que l’on n’a a plus les sous pour en refaire de si riches. Voyez ces azulejos sur les colonnes et les parois, la scène de l’autodafé, le bureau du roi …xxxxxxxxx. Voyez la richesse des costumes civils, militaires et religieux : pour une fois, on a des costumes colorés à la cour d’Espagne (sauf pour le roi), nous épargnant l’habituel noir. Repérez enfin la finesse des détails : le regard muet du roi sur son fils et Posa, dès la première scène, puis la Reine remettant son anneau à sa dame de compagnie exilé, Posa qui se demande s’il ne va pas se prendre un coup de cane du roi, après sa franche interpellation, etc.. Voilà un metteur en scène cultivé, qui s’est donné la peine de lire le livret et de se documenter et qui sait transformer des chanteurs en acteurs (avec un peu plus de mal avec Pavarotti). Cela devient hélas chose rare (je viens de voir un Lohengrin en Duplo). Dans le programme du spectacle, Zeffirelli indiquait qu’il était allé sur place, à l’Escurial et qu’il avait vu les tombes de Carlo et de la reine, dans un coin sombre, en face l’une de l’autre, et éloignées des autres, , mis au ban à tout jamais sans aucun doute de par la volonté de Philippe II.Le rôle clé est en effet le roi Philippe II, tourmenté entre « sa gauche » (son fils), son « extrême-gauche » (Posa) et son extrême-droite (le grand inquisiteur), si j’ose cet horrible anachronisme. Samuel Ramey a la voix et le jeu qui conviennent, alliant autorité et doute. Pavarotti, dont on n’a pas d’autre enregistrement d’intégrale du rôle, sauf erreur, se contente, en gros, d’ouvrir le gosier, mais ce qui en sort est vraiment unique. Personne n’a eu un tel timbre (sauf, selon lui, son propre père).Paolo Coni, le baryton Posa, est de ces artistes arrivés trop tard pour pouvoir laisser de nombreuses traces discographiques, puisqu’il n’y a plus d’enregistrements studio. Il leur faut donc bénéficier de captation de spectacles. Il est très crédible, voix et jeu. Il n’a pas un timbre très reconnaissable : ce n’est pas les Bastiannini, Gobbi, Milnes, Cappuccili, Bruson (et que dire de Fischer-Dieskau !) …qui se sont illustrés dans ce si beau rôle. Il n’ pas une voix très puissante, mais le personnage ne l’exige pas : ce doux rêveur sera broyé. Le grand inquisiteur est bien servi par Anisimov. Il n’a en gros qu’une scène, mais il doit être de même niveau que le roi, voire même plus écrasant : pas facile, face à Ramey !Donc rien à redire de tous ces messieurs, sinon bravo. C’est plutôt côté dames que je ferais la fine bouche. Pas au plan vocal, assuré, mais aussi bien Daniela Dessi (la reine) que Lucianna d’Intino (Eboli) me semblent trop bonnes filles, pas assez altières, ni tigresses : pourtant, cette reine, Fille de France, exécute quand même la maîtresse aussi sèchement que son mari l’avait fait avec sa dame d’honneur, laquelle maîtresse a voulu faire chanter l’infant : ce sont deux femmes dangereuses, car puissantes et blessées. Cela ne ressort pas assez de leur jeu.Muti est, je pense, le grand chef d’opéra verdien de notre époque (avec Solti auparavant, avec Pappano à présent, Abbado en avait moins à son actif). Tous ses enregistrements ont fait date. Sa direction met bien en valeur ce chef d’œuvre musical, pour moi un des meilleurs Verdi (le monologue du roi, la mort de Posa, l’air de la reine, il faudrait tout citer).En résumé, un très beau spectacle, digne de la Scala, que l’on peut acheter sans crainte, et conserver, on n’est pas prêts d’en voir un pareil ! Cette œuvre mérite plusieurs versions, et, justement, on est gâtés, en CD et en DVD ! Je mets les 5 étoiles, malgré les dames et l’omission de l’acte de Fontainebleau, si cher à mon cœur de bellifontain.

●キャストルチアーノ・パヴァロッティ：ドン・カルロサムエル・レイミー：フィリッポ2世ダニエッラ・デッシ：エリザベッタルチアナ・ディンティーノ：エボリ公女パオロ・コーニ：ロドリーゴアレクサンダー・アニシモフ：大異端審問官ミラノ・スカラ座管弦楽団＆合唱団指揮：リッカルド・ムーティ演出：フランコ・ゼッフィレッリ収録：1992年12月11、15、19日ミラノ・スカラ座（ライヴ）王妃との悲恋路線偏重でない重厚な史劇に仕上がっています。ゼッフィレッリ演出の歴史の重みを感じさせる荘重な舞台セット、時代めいたやや古めかしい豪華な衣装に、程好く暗い照明のおかげもあると思います。